shadocs a écrit:Pilote85 a écrit:Comment expliquer cela? Certes il y a eu la pluie mais il y a quand même eu de larges séances sur le sec. Est ce la pression atmosphérique différente, une préparation moins poussée des moteurs ou tout simplement les pilotes qui n'ont pas taper dans leurs derniers retranchements?
Pour ma part j'ai une explication qui vaut ce qu'elle vaut mais la voici:
Tactiquement aborder une 24H comme une 6H ... ou une manche de vitesse
conduit selon moi direct dans le fossé au bout d'un certain temps car la proba de prendre une pelle
lorsqu'on on est à la limite tend vers 1 sur une course de 24H.
Pour la mécanique aussi c'est pareil, aborder une 24H avec une "Grosse config full power"
et matraquer la mécanique conduit parfois au désastre et donc certains équipages
adoptent des attitudes et configurations plus sages.
Enfin j'ai constaté après 4 Nouziers que l'on réalisait souvent les meilleurs temps sur les dernières heures
lorsque la mécanique suivait .... et la sur les dernières heures il pleuvait
et donc il était difficile de faire péter les chronos.
Enfin lors du national vous aviez moins d'origines/OA et de promos sur la piste et donc moins de chance
d'avoir à ralentir sur les dépassements.
le tout cumulé ... on doit pas être loin des 10 secs au tour d'écart avec les temps du national.
Wable a écrit:Loïc,
Je partage ton analyse.
J'ajouterai aussi les conditions atmosphériques.
La piste a été nettoyée avant la course par de bonnes averses, et à 3°C les pneus accrochent beaucoup moins bien qu'en septembre dernier avec 28°C.
Pour le rendement des moteurs les conditions de Septembre étaient bien meilleures que celles du week-end dernier.
Thierry
J'adhère à votre analyse, j'avais aussi la même théorie mais si j'ai soulevé cette question c'est pour avoir aussi le votre. Globalement on était moins bon aussi aux 24H de 2013 par rapport a celle de 2012. ( équipage par équipage )